À l’approche des fêtes de fin d’année, période propice aux grands repas, la marque Viandes de Normandie partage quelques conseils pour déguster une viande de qualité sans excès, tout en alliant plaisir et équilibre alimentaire. Viandes de Normandie, marque collective régionale d’Interbev Normandie, garantit une viande 100 % normande – née, élevée et abattue dans la région. Patricia Poignet, diététicienne et nutritionniste, apporte quelques éclairages, pour faire confiance à ce logo pour des fêtes réussies.
La qualité et la traçabilité, garantes d’une meilleure alimentation
Les viandes issues d’un élevage local et respectueux, comme celles de Viandes de Normandie, ont des atouts diététiques significatifs. Une viande issue d’un élevage contrôlé, sans trop de transport entre le champ et l’assiette, offre une meilleure qualité nutritive, avec un profil lipidique plus équilibré, moins de graisses saturées et des nutriments conservés.
Bien choisir sa viande pour les repas de fête
Pour des repas équilibrés mais gourmands, il est conseillé de privilégier des morceaux maigres et tendres. Par exemple, pour le boeuf, le filet ou le rumsteck sont idéaux pour allier plaisir gustatif et modération.
« La viande est un mets noble, qui sublime un plat principal. À la période des fêtes, les viandes peuvent être proposées en grosses pièces rôties, où le plaisir du partage se fait autour de la découpe. Elles peuvent également être sublimées dans des préparations surprises, une viande de boeuf posée sur une farce fondante, cachée sous une fine croûte de pâte dorée ».
Se tourner vers une viande de qualité, comme celles de la démarche Viandes de Normandie, permet de savourer des produits respectueux de l’environnement, tout en profitant d’un goût authentique et de la garantie d’une viande bien élevée.
Quels morceaux de viande privilégier pour des repas allégés après les fêtes ?
En période d’après-fêtes, la question est souvent la même : Quoi manger après des plats assez copieux ? La diététicienne Patricia Poignet propose quelques astuces pour des recettes à base de viande, légères.
« Pour des repas d’après fête, l’idée est de privilégier des morceaux peu gras. C’est le cas du filet, le tende de tranche, le faux filet pour le boeuf, la noix de veau et le gigot d’agneau. Ces morceaux seront proposés grillés avec une fondue de légumes d’hiver (choux, endives, épinards, céleri, carottes, poireau…), ou émincés et pochés dans un bouillon de légumes relevé et parfumé.»
Une consommation quotidienne de viande ? Mieux vaut varier les plaisirs !
S’il n’est pas nécessaire de consommer de la viande chaque jour, la diversité alimentaire est clé pour un bon équilibre. Alterner avec du poisson, des oeufs, ou des sources végétales de protéines permet de couvrir tous les besoins sans excès.
« Notre corps ne possède pas de réserve de protéines, notre alimentation doit donc apporter tous les jours 0,8 g de protéines par kilo de poids corporel. En consommant 120 grammes de viande lors d’un repas, nous apportons en moyenne 25 grammes de protéines animales nécessaires au bon fonctionnement de notre corps, ce qui place la viande comme un aliment privilégié dans le cadre d’une alimentation équilibrée. Bien que les viandes rouges soient des aliments de haute valeur nutritive, elles bénéficient d’une recommandation. Nous conseillons de ne pas la consommer au-delà de 500 grammes hebdomadaire, soit l’équivalent de 3 à 4 portions/ semaine. »
Astuces pour les plus jeunes : faire aimer la viande aux enfants
Pour les plus jeunes, la découverte de la viande se fait en douceur, mais eux aussi peuvent profiter d’un bon repas de fête.
« L’agneau, par exemple, est une viande très parfumée. Le goût de la viande est l’umami, ce goût est naturellement apprécié des enfants. Les recettes avec des cuissons longues permettent également de gagner en tendreté ; c’est le cas de la joue de boeuf qui révèle tout son moelleux en confisant. Pour diversifier les préparations au cours des semaines, et garder des morceaux fondants en bouche, la blanquette et la paupiette de veau sont à proposer aux jeunes enfants dont la mastication peut encore être difficile ».
Les fêtes de fin d’année sont donc des occasions parfaites pour faire découvrir une palette de nouveaux goûts aux enfants, tout en leur apportant des besoins nutritifs : acides aminés essentiels, fer, zinc, sélénium, vitamines B12.
Les atouts nutritionnels du boeuf, du veau et de l’agneau normands
Derrière Viandes de Normandie, on retrouve une large palette de viandes, chacune apportant des bienfaits distincts.
« Les viandes de boeuf, de veau, d’agneau sont toutes composées des 8 acides aminés indispensables au maintien des tissus musculaires (histidine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, tryptophane, valine). Elles sont toutes également riches ou source de fer bien toléré par notre intestin (boeuf), de zinc (boeuf, veau, agneau), de vitamines B3,B6 et de sélénium (boeuf, veau). La viande de veau a la particularité d’être plus riche que les autres espèces en vitamines B12. »
À propos
VIANDES DE NORMANDIE, c’est la volonté de partager avec les consommateurs la passion des viandes de qualité, exclusivement nées, élevées et abattues en Normandie, par des professionnels engagés. C’est aussi une transparence sur la viande produite dans le respect des Femmes, des Hommes et des animaux. Enfin, c’est la volonté de combattre les idées reçues en mettant au coeur de son message les éleveurs, les producteurs, les transformateurs normands, qui travaillent au quotidien pour défendre leur patrimoine gastronomique régional.
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